domingo, 15 de fevereiro de 2009

07. Yoff 31.01.09


07.
Atira-se à palavra preconceito, como cada mistério, escondido pela cegueira inerte dos descrentes. Cada pulsar uma descoberta da história escrita há centenas de anos. Aqui há meninas com sonhos. Revoltas e mais ainda. Presságios, premunições entregas e cada vez mais curvas para chegar à essência. Meninos entregues ao dia, camisolas roubadas. Descobertas sem caravela ou escravos, enchem a memória dos mais novos. Os dias arrastam-se as portas abrem os espíritos deixando entrar as vozes pela janela da minha alma. As vozes são menos as nossas se não poder-mos olhar para dizer, amem-se, só assim o mundo deixará de ser como era e um presságio ainda maior se cumprirá. Continuaremos a chegar, mais perto do calor humano, deixando para trás a miséria.

07.
Ils ont jetés lui-même au préjugé du mot, comme chaque mystère, caché pour l'aveuglement inerte des incrédules. Chacun presse une découverte de l'écriture historique il y a des centaines d'années. Il y a des filles ici avec les rêves. Révoltes et plus immobile. Présagez, livraisons des prémunitions et de plus en plus de courbes arriver à l'essence. Garçons donnés au jour, chemises de nuit volées. Découvertes sans caravelle ou esclaves, remplissez la mémoire du plus nouveau. Les jours ils rampent les portes ouvrent les alcools qui laissent pour entrer les voix pour la fenêtre de mon âme. Les voix sont moins le nôtre si aucune pouvoir-meule regarder pour dire, amour l'un l'autre, seulement aimez ceci le monde cessera d'être comme c'était et un présage encore plus grand il viendra vrai. Nous continuerons à arriver, plus près de la chaleur humaine pour laisser la pauvreté en arrière.

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