domingo, 15 de fevereiro de 2009

08. Dakar 31.01.09


08.

Cada dia que passa, a descoberta frenética da dança, contrastando com o viver calmo e apaziguador, dos dias passados sem pressa. Dakar é assim, tão simplesmente espontâneo, como uma dança pela tarde de domingo dentro, uma teatrada na rua pela manhã e a promessa sorridente de um futuro sem demora de partir. As palavras transformam-se em sons audíveis para todos, na descoberta da linguagem universal. Corpos nus abraçam a moral da descoberta dos nossos antepassados. Aos outros mais do que a ti, pergunto, enquanto ris, de onde vens? Estou aqui, por onde passei, quem poderá responder? A ondulação dos corpos, faz despertar o encontro com Deus, a expressão de uma história, que importa descobrir, como no nosso deslumbre, nosso e dos dias passados à soleira da porta com mama África. Cada dia, outra história deixando antever a passagem dos corpos, a entrega sôfrega aos tambores de uma juventude sedenta de expressão. Anos mais tarde, virá a cegueira e o encontro fugaz com a sombra. Importa para todos recordar a voz cativa dos monstros, os fantasmas ou os místicos, correndo sôfregos pela praia fora ao entardecer, ou pôr-do-sol que não se chega a ver. Os meninos fogem pela mão ao cumprimentar o branco sujo de poder, sem eira nem beira, encontram uma moeda para acalentar o estômago frio do menino sem chinelo. Uma cabra esfrega o sabonete, chuta-se um saco de plástico e esmaga-se uma barata grande. Para dizer amo-te, no correr desatinado das águas, que faltam todos os dias, a qualquer hora. Aqui há lágrimas, histórias intensas de mal de amor, inveja e sangue. Os que não podem ter, encobrem os negros com a passagem rápida de música encolhida nos ombros. Escrevemos todos os dias para contar histórias dos outros e esquecer bem cedo a origem dos cravos deixados na ponta dos canhões, ao chegar para matar os escravos de nós. Uma ponta solta, para contar a história. Os portugueses mal amados, que agora tentam salvar o mal feito aos demónios da terra negra, ao induzir em erro o testemunho inigualável de uma cultura forte, tão forte que não adianta a nós imaginar algo tão doce e encerrado na passagem das caravelas quinhentistas.

08.
Tous les jours cela réussit, la découverte affolée de la danse, contrasté avec le calme vivant et conciliateur, des jours réussis sans hâte. Dakar est comme ceci, si simplement spontané, comme une danse pour le dimanche après-midi à l'intérieur d'un théâtre dans la rue l'matin et la promesse souriante d'un avenir immédiatement de départ. Les mots deviennent des sons audibles pour tout, dans la découverte du langage général. Les corps nus étreignent la moralité de la découverte de nos ancêtres. Aux autres plus qu'est-ce que je vous demande, justement que vous riez, d'où venir ? Est-ce que je suis ici, pour où a réussi, qui peut répondre ? L'ondulation des corps, fait se réveiller la rencontre avec Dieu, l'expression d'une histoire, cela importe pour découvrir, comme dans le nôtre il aveugle, le nôtre et des jours réussis au seuil avec Mama l'Afrique. Tous les jours, autre lieu historique prévoir le passage des corps, le gémissement la livraison ardente à une jeunesse assoiffée de tambours de l'expression. Plus tard, il viendra l'aveuglement et la rencontre fugitive avec l'ombre des années. Il importe tout pour se souvenir de la voix capture des monstres, les fantômes ou les mystiques, en exécutant le gémissement pour la plage était la le crépuscule, ou coucher de soleil qui n'est pas commencé à voir. Les garçons fuient pour la main quand saluer le blanc sale d'être capable et indigent, ils trouvent une monnaie pour balancer le rhume l'estomac froid du garçon sans pantoufle.
Une chèvre frotte le savon, on lui donne un sac d'matières plastique un coup de pied et un grand cafard est pressé. Pour dire, je vous aime, dans fonctionner a exaspéré des eaux, ce manque chaque jour, l'en heure. Ici il y a des larmes, histoires intenses de mal de l'amour, il envie et sang. Ceux qui ne peuvent pas avoir, ils masquent les noirs avec le passage rapide de musique contractée dans les épaules.
Nous avons écrit chaque jour à compter des histoires des autres et oublier bien l'origine des œillets tôt sont partis dans l'astuce des canons, quand arriver pour tuer les esclaves de nous. Une astuce libre, compter l'histoire. Le portugais aimait vraiment, que maintenant essaie de l'enregistrer il fait vraiment au démon du monde noir, quand induire dans l'erreur le témoignage inégalé d'une culture fort, si fort cela ne nous avance pas donc imaginer quelque chose sucré et a contenu dans le passage des caravelles Cinqcecentistes.

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