terça-feira, 3 de fevereiro de 2009

01. Dakar 26.01.09



01.
Um sorriso pouco habitual abre a porta de entrada, ao Senegal. O cheiro intenso, a noite difícil. A calma doce custa a chegar. De noite o presságio da realidade, passa o dedo pela mulher completa, recebendo-nos sem medo. De manhã a queda da ilusão. Entro no terraço ofuscada pela luz dourada, tal que os meus olhos nunca haviam visto noutro lugar, tropeço num ferro e aterrei com a cabeça no muro. A ponta dos chinelos desfeita num sorriso, por assim ter abruptamente despertado à luz pálida da manhã dizendo “Voilá le Senegal”.
Enganaram-se aqueles cuja memória remonta à linda savana, aos elefantes, os meninos correndo sorridentes ou até chorando e morrendo de fome. Aqui há tudo isso e não só. Atentos ao lado, sorrimos e cumprimentamos quase toda a gente.
01.
Le sourire peu habituel ouvre la porte d'entrée au Sénégal. L'odeur intense, la nuit difficile. Le calme sucré coût arriver. Le soir le présage de la réalité, passa le doigt par le la femme complète, en nous recevant sans peur. Le matin l'illusion tombe. J'entre dans la terrasse aveugle par la lumière d'or léger, tel que mes yeux n'avaient jamais vu dans une autre place, j'ai trébuché dans un fer et j'ai atterrisse avec la tête dans le mur. L'point d'pantoufles cassé dans un sourire, pour être réveillé abruptement à la lumière pâle du matin "Voilà le Sénégal." On fait une erreur avoir dans la mémoire la belle savane, des éléphants, les garçons courre ou jusqu'à pleurer et mourir de faim. Ici il y a tout ce et pas seul. Attentif au côté, nous avons souri et nous avons salué presque tout le monde.

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